Dès le seuil de Runsdorf, cerné par son immense forêt, la douce Marysia s’est sentie inquiète... mais il lui faut cependant rester auprès de son père, nouveau précepteur des jeunes châtelains, auprès de son frère Alexy, à demi paralysé.
Bientôt Marysia découvre avec effroi quels souvenirs tragiques hantent ce château vétuste ; elle devine les déchirements des Lendau, aristocrates qui se sont enfermés dans une morgue amère, souvent blessante pour la jeune fille.
Alors, quand le jeune comte Walther de Lendau, passionné de médecine, cherche à soulager le mal d’Alexy, Marysia, troublée, s’interroge : nouveau signe d’orgueil ou élan généreux ?
Marysia n’ose répondre, n’ose écouter son coeur...