Tueur sur la ville
Thriller
Buchbeschreibung
D'étranges crimes sèment la terreur sur la ville...
Le port de Fécamp subit les assauts des vents d'automne. Une vieille femme est retrouvée pendue, sa chevelure tondue et une croix gammée peinte sur son imperméable.
Puis d'autres femmes subiront le même sort... Macabre mise en scène d'un autre temps...
La police et la mairie restent tétanisées. Qui peut être ce tueur en série ?
N'y a-t-il pas dans la mémoire collective de ce paisible bord de mer quelque mystère enfoui ?
Un thriller glaçant au cœur de la cité fécampoise !
EXTRAIT
Ça m'a fait quelque chose de la revoir la Gisèle. Presque quarante ans après. J'étais fou amoureux d'elle quand j'étais jeune. Mais pourquoi était-elle allée se marier avec ce con de Gabriel, débile, alcoolique, une fille pareille ! C'était donner un rubis à un macaque. Elle avait pourtant accepté mes avances. La seule fois où on a couché ensemble, j'avais tout juste vingt-cinq ans. Incroyable ! Elle avait un de ces corps ! Noueux, musclé, des seins comme des citrons ; je me souviens encore de son petit bout de peau rugueux sous la fesse gauche.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
D’une écriture efficace, qui s’épure au fil de ses parutions, Jean-François Rottier nous embarque dans un thriller cru, glaçant et fascinant, qui balade le lecteur des hangars du port à la plage d’Yport, de l’abbatiale au chemin des sept ponts. - Paris-Normandie
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean-François Rottier est depuis toujours un passionné de l 'écrit.
D'abord travailleur social, son dernier métier sera d'occuper les fonctions de directeur des services municipaux de la ville de Fécamp sur le littoral normand.
De ses années au service d'une population attachante, il garde en mémoire bon nombre de témoignages et d'anecdotes qui nourrissent son imaginaire.
Retraité depuis 2015, il se consacre presque exclusivement à l'écriture et poursuit sa dissection des êtres d'une plume acérée et tendre. Dans ses livres, les paysages marins contribuent pour beaucoup à l'étrangeté des situations et à la complexité des relations humaines, comme si les marées et les tempêtes successives devaient se charger d'organiser la vie de ses personnages.