"Lorsque M. Méry nous a proposé de donner nos soins à la publication de Napoléon en Italie, poème en vingt chants, dont le premier vers n'existait pas encore, nous n'avons pas hésité à répondre à l'appel du poète et à partager la double confiance qu'il avait dans l'exactitude périodique de son travail et dans le succès continu de nos armes.
« Si je prévoyais, nous disait-il, une seule interruption dans mes livraisons ou dans nos victoires, je ne commencerais pas. »
L'événement a justifié cette prédiction ; elle est d'ailleurs reproduite dans les premiers chants du poème."