Première personne du singulier
Confessions passagères
Description of book
Un homme, Murakami, se souvient de toutes les rencontres et les instants qui ont fait de lui qui il est.
"Somptueux, merveilleux." France Inter
Un homme se souvient
De la femme qui criait le nom d'un autre pendant l'amour
Du vieil homme qui lui avait révélé le secret de l'existence, la " crème de la crème " de la vie
De Charlie Parker qui aurait fait un merveilleux disque de bossa-nova s'il en avait eu le temps
De sa première petite amie qui serrait contre son coeur le vinyle With the Beatles
Des matchs de base-bail si souvent perdus par son équipe préférée
De cette femme si laide et si séduisante qui écoutait le Carnaval de Schumann
Du singe qui lui avait confessé voler le nom des femmes qu'il ne pouvait séduire
De ces costumes qu'on endosse pour être un autre ou être davantage nous-même.
Un homme, Murakami peut-être, se souvient que tous ces instants, toutes ces rencontres, anodines ou essentielles, décevantes ou exaltantes, honteuses ou heureuses, font de lui qui il est.
Après le succès de
Des hommes sans femmes, Murakami renoue avec la forme courte. Composé de huit nouvelles inédites, écrites, comme son titre l'indique, à la première personne du singulier, un recueil troublant, empreint d'une profonde nostalgie, une sorte d'autobiographie déguisée dont nous ferait cadeau le maître des lettres japonaises.
Table des matières :
Sur un oreiller de pierre
La crème de la crème
Charlie Parker plays bossa-nova
With the Beatles
Recueil de poèmes des Yakult Swallows
Carnaval
La confession du singe de Shinagawa
Première personne du singulier
" Somptueux, merveilleux ; d'une beauté feutrée, bouleversante. " Le Masque et la Plume,
France Inter
" Au fil des pages, un sentiment d'intimité, d'un dialogue de comptoir avec un vieil ami. "
Les Echos
" Huit merveilleuses nouvelles. "
Libération
" Des textes inventifs et captivants "
Télérama