A Sully Prudhomme revient le premier Prix Nobel de Littérature (1901).
Ses poèmes sont le mot attaché au sens sans perte de chaleur, et l'élégance de la forme est une pleine lune : ils parlent d'océans, de prodiges, d'amis inconnus, de conseils, de damnation, d'évolution, d'habitude, de confessions, de pensée, de volupté, de vent...
L'image de couverture est notre reprise des œuvres Tragic mood de Marianne Werefkin et Kumoi Cherry Trees de Hiroshi Yoshida: un artiste russe et un artiste japonais contemporains de la guerre entre leurs nations (1904).